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7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 15:48

De la bibliothèque à Baroja c’est un vrai boulevard de la culture qui est en train de prendre forme à Anglet.

 Il y a l’existant, héritage de nos prédécesseurs, et cet héritage n’est pas mince. L’équipe municipale, porteuse d’un projet culturel ambitieux y ajoute aujourd’hui plusieurs réalisations.

Parcourons ce boulevard.perspective march-[1]

A coté de la bibliothèque médiathèque, dont le rayonnement dépasse largement les frontières d’Anglet, la salle culturelle va proposer trois lieux de création et de spectacle : la grande salle de 800 places, modulable, une salle plus modeste de 200 places et, à l’extérieur, un théâtre sur le toit, de 130 places environ, dominant le marché.

A 100 mètres, la maison pour tous va être agrandie : studios dédiés à la musique amplifiée, salles de réunion pour les associations, locaux offerts aux jeunes… la surface utile de la maison va être multipliée par deux.

Juste à coté se dresse la très belle villa Beatrix Enea, lieu onirique et chaleureux consacré aux arts plastiques, qui a contribué largement au rayonnement culturel d’Anglet.

R-ve-de-G.-Rousse.jpg

anglet 3 aout 2010 026-copie-1

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rêve, oeuvre de G. Rousse, accueille le visiteur, dans le hall de Beatrix Enea  

 

 

anglet 3 aout 2010 007L’église paroissiale Saint Léon et la Mairie, avec sa salle des fêtes, prolongent le boulevard. L’église est depuis des siècles un lieu de rassemblement et de recueillement qui porte l’âme angloye. Cérémonies religieuses, fêtes, concerts de musique sacrée ou profane s’y succèdent.

 

 

Il faut faire quelques pas pour rejoindre le domaine de Baroja. Celui-ci propose trois lieux bien différents : son parc pour des manifestations de plein air, mais aussi ses belles écuries, rénovées il y a une quinzaine d’années, qui offrent un écrin chaleureux à des manifestations plus intimistes, et depuis un an le chapiteau, pour des spectacles vivants.

 ete-2010-028.JPG

Jazz sur l'herbe, à Baroja.

Au cœur de l’agglomération, Anglet affirme ainsi son identité. La culture, sous toutes ses formes, en est une composante essentielle.

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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 10:33

Ma mémoire m'a joué un vilain tour! J'ai parlé dans un précédant article d'une décision de la municipalité de Victor mendiboure de 1990, décidant de l'implantation de la salle culturelle à Quintaou. Or c'est en 1983 que la décision avait été prise. Le projet avait été relancé en 1993 toujours à Quintaou.

 En Mars 1984, M. Barate déclarait en conseil municipal:

- "Après consultation d'un nombre important d'utilisateurs et de professionnels du spectacle, la commission municipale des affaires culturelles a retenu dans sa séance du 22 novembre 1983 le programme d'un complexe culturel dont voici la composition:

- Une salle de spectacle de 500 places avec scène frontale mais sans fosse d'orchestre

- une bibliothèque centrale sans succursale, mais avec bibliobus, équipement correspondant à une ville de 20 000 habitants, tel que définie par la délibération du 5 mai 1978...

Je répondait alors:

- Nous sommes d'accord avec ce programme à l'élaboration duquel nous avons participé en commission. La procédure retenue nous a convenu tout à fait même si sur certains points de détail on n'était pas toujours d'accord. C'est normal... "

Et j'avais voté la délibération, avec mes amis représentant l'opposition de gauche.

En 1993, M. Barate revenait à la charge et déclarait:

- La construction d'une salle de spectacle à Qintaou fut approuvé en 1983 lors de l'examen par notre assemblée du projet de complexe culturel sur ce site. Seule la première tranche de ce complexe - la bibliothèque - fut réalisée... La situation de cette salle, au coeur de la cité, à mi-chemin entre le pôle administratif et les installations sportives [de Choisy], en fait un élément structurant pour notre ville, en s'intégrant dans un espace à vocation culturelle et de rencontre: Ecoles, collège, maison pour tous, marché, musée futur... ( c'est moi qui souligne)

 

Depuis 1983 donc, le site de Quintaou avait été retenu. La bibliothèque fut réalisé, pas la salle de spectacle malgré la reprise du dossier en 1993. Les arguments de la majorité de l'époque pour une implantation à Quintaou sont toujours d'actualité; M. Barate voyait juste et loin...

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 10:38

A une semaine du premier tour des élections cantonales, curieusement , une association lance une polémique autour de la future salle culturelle de Quintaou.

Quelles sont ses critiques?

Selon elle, la salle détruit un espace vert, il y a un problème de parking, elle n'est pas financée,et, pour faire bonne mesure, elle est contraire au leg "Le Bariller".

 

 Il y a un problème de parking?

Nous nous attendions à toutes les critiques, mais il faut bien l'avouer, pas à celle-là. Nous disposons aujourd'hui avec l'esplanade de Quintaou et les parkings publics devant la Maison pour Tous, de 400 places disponibles aux heures d'ouvertures de la salle culturelle. De quoi répondre sans problème aux besoins nouveaux sans gêner en rien les activités présentes. C'est un des intérêts majeurs de l'implantation à Quintaou!

La salle détruit un espace vert?

Elle est  implantée pour partie sur une pelouse, sans arbre remarquable, pour partie sur une voie bitumée.  Elle formera avec la médiathèque et la villa Quintaou un ensemble architectural qui sera mis en valeur par l'écrin vert qui les entourent, et qui va être redessiné. Comme il n'est pas nécessaire de créer de nouveaux parkings, l'impact sur l'imperméabilisation des sols est réduit au minimum. Implanter un bâtiment de cette importance avec aussi peu d'impact sur l'environnement est, à l'inverse de ce qu'affirme cette critique, une gageure réussie par les architectes.

La salle n'est pas financée?

Je renvoie mes lecteurs à l'article que j'ai publié sur ce blog le 20 septembre 2010, intitulé "Le coût de la salle culturelle: de la polémique aux chiffres". La date de mon papier l'atteste, le financement de l'équipement est bouclé depuis six mois. Cela a été expliqué en conseil municipal. L'ignorance des contestataires surprend. Il est vrai qu'ils n'ont jamais cherché à se renseigner auprès de la municipalité ou des services de la ville.

La construction de cette salle serait contraire aux clauses du leg "Le Bariller" confiant la villa Quintaou à la municipalité.

Ce leg prévoit que la ville doit dédier la propriété à "l'accueil des femmes en couches". Pour être fidèle à l'esprit de ce leg, la ville d'Anglet a installé une crêche dans la villa . Ceci fait, elle a aussi construit dans le parc la médiathèque et le parking-marché de Quintaou avec sa halle. Ce qui a été possible pour la médiathèque et le marché serait impossible pour la salle culturelle? Rappelons qu'en 1990, la municipalité de M. Mendiboure avait décider la construction d'une salle culturelle sur ce même site. Bien qu'opposant à l'époque, j'avais voté ce projet, porté en particulier par M. Barrate. Le leg Le Bariller n'était pas un obstacle! Le projet pourtant bien avancé avait été ensuite abandonné. Nous ne faisons que reprendre une idée ancienne. Le fait qu'elle ait été portée autrefois par des élus qui n'appartenaient pas à notre sensibilité ne nous a jamais empêché de la trouver bonne. Certains devraient s'en souvenir.

 

Tous les arguments qui nous sont opposés ne tiennent pas. Nous y avions déjà longuement répondu, comme le montrent les nombreux articles que j'ai consacré à la salle culturelle sur ce blog. Pourquoi donc relancer cette polémique, maintenant?

 Parce que nous sommes en campagne électorale et que certains font feu de tout bois. Il faut faire croire que nous sommes incompétents, que nous jetons l'argent du contribuable par les fenêtres, que nos projets sont nuls. Que les opposants s'opposent, quoi de plus légitime? Mais qu'ils instrumentalisent des associations, avec de mauvaises querelles, en donnant de fausses informations, ce n'est pas correct. Et en m'exprimant ainsi chacun relèvera que j'emploie un euphémisme. Il est vrai que lorsqu'on n'a pas d'arguments sérieux à opposer à une politique, il faut bien en trouver d'autres, qui relèvent du fantasme ou de la mauvaise foi.

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10 octobre 2010 7 10 /10 /octobre /2010 14:48

Quand on est élu on se doit d'être responsable et de mesurer ses propos.

L'architecture de la future salle culturelle fait débat. C'est légitime. L'architecture contemporaine, dans sa diversité a toujours suscité des contreverses. Qu'on se souviennent de celles qui avaient entouré le projet de la pyramide du Louvre, ou de la grande arche de la Défense!

Mais le débat se doit d'être sérieux.

L'opposition titre dans sa page du bulletin municipal: "La salle de spectacle: le futur grand "cageot" près du marché de Quintaou". C'est indigne du débat politique. Nous avons combattu le projet précédant, de Rudi Riciotti, non pour son architecture mais pour son programme, inadapté aux besoins, et son coût que nous jugions excessifs. Programme et coût étant bien de la responsabilité directe des élus. Il nous aurait été pourtant facile de qualifier de "Blockhaus" le cube de béton de 20 mètres de haut imaginé par l'architecte. Nous avons au contraire reconnu la qualité du travail de Riciotti. perspective-march--1-.jpg

L'architecture contemporaine n'est pas spontanément acceptée par nos concitoyens. Il est facile de surfer sur la vague et de la tourner en dérision. Il est plus difficile, et parfois plus risqué de l'expliquer pour aider à mieux la comprendre.

 L'opposition affirme que la salle que nous voulons réaliser ne correspond pas aux besoins des angloys: voilà le fond du débat. Avançons nos arguments, projet contre projet. C'est ce que j'ai essayé de faire dans des articles antérieurs publiés sur ce blog (1). Pour l'heure j'ai entendu les affirmations de l'opposition, je n'ai guère entendu d'argumentation...  

En attendant  j'invite les internautes à se reporter sur le site du cabinet Hérault et Arnod (www.herault-arnod.fr) qui a dessiné le projet : Ils y découvriront d'autres "cageots", par exemple le siège de la société Rossignol.  Ils se feront ainsi une idée personnelle de leur production. Et puis, par curiosité ils pourront aussi aller voir les travaux de Riciotti, sur son site. Histoire de comparer cageot et blockhaus, et de juger par eux-mêmes de la créativité de deux équipes d'architectes de grande qualité, aujourd'hui reconnus.

 

(1) voir article " Quelques questions sur la salle culturelle Quintaou" 

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20 septembre 2010 1 20 /09 /septembre /2010 20:49

 

"La salle culturelle va coûter trop cher!" Ce reproche nous est formulé par des personnes de bonne foi sur la base d'informations erronées. Certains membres de l'ancienne municipalité font courir des chiffres fantaisistes qu'on retrouve dans un tract de l'association "Quintaou-place Lamothe" récemment distribué.

Je cite: "Près de 6 millions d'euros perdus par l'abandon du projet précédant (Bovero). Pourquoi un projet dont le coût exorbitant de l'ordre de 10 M€ sera essentiellement à la charge du contribuable?"

Je propose donc de comparer le projet Bovero de l'équipe précédente auquel la municipalité présente a renoncé, et le projet Quintaou au "coût exorbitant".  

 

Salle à

Bovero (abandonnée)

Quintaou (en projet)

Coût opération HT

12,7 M €

9,5 M €

Total subventions

5,2 M €

5,4 M €

Coût pour la ville

7,5 M €

4,1 M €

 

La nouvelle salle coute moins cher que la salle projetée par la municipalité précédente. Les subventions que nous avons d'ores et déjà obtenues sont légèrement supérieures à celles mobilisées par l'équipe précédente. Au final c'est donc 3, 4 millions d'euros qui vont être économisés sur le budget de la ville d'Anglet. Ou sont donc les 6 millions d'euros perdus?

 

9,5 millions d'euros, prix de la nouvelle salle: est-ce exorbitant? Tout dépend de ce qu'on a pour ce prix là.

 

Dans le projet Bovero nous déboursions 12,7 M d'euros pour une salle de 473 places.

Coût par fauteuil: 24800 €

Pour le projet Quinataou la facture sera de 9,5 M d'€ pour une salle de 800 places.

Coût par fauteuil: 10700 €.

Ce qui était exorbitant c'était le prix de Bovero! 

 

Ajoutons qu'en plus avec la nouvelle salle seront livrés une petite salle de 200 places et un espace scénique extérieur d'environ 300 places...

 

Revenons sur les subventions. Je donne ci-dessous le détail de ces subventions telles que nous les connaissons aujourd'hui:

collectivité

Projet Bovero

Projet Quintaou

Conseil général

600 000

675 000

Conseil régional

228 000

1 350 000

CABAB

4 372 000

3 400 000

Total subventions

5 200 000

5 425 000

% subventions/ prix global

41 % du prix global

57% du prix global

 

L'opposition municipale avait affirmé que la municipalité précédente avait obtenue une subvention de la DRAC a hauteur de 2 millions d'euros. Après vérification il est possible d'affirmer qu'aucun engagement n'avait été formalisé par la direction régionale de l'action culturelle. Nous n'avons trouvé aucune trace d'une telle subvention.

 

Voilà les chiffres. Incontestables.

Le reste est (mauvaise) littérature.

 

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18 septembre 2010 6 18 /09 /septembre /2010 10:52

Après le débat autour de la salle culturelle qui a enflammé le conseil municipal du 14 septembre, il n'est pas inutile de reprendre quelques questions que se posent nos concitoyens.

 

Quelle est la bonne jauge pour la salle culturelle ?

Combien de spectateurs les salles existantes de l’agglomération peuvent-elles accueillir ?

 

ville

salles

capacités

Bayonne

Théâtre municipal

576 places

Biarritz

Casino municipal

460 places

Casino Bellevue (auditorium)

480 places

Gare du midi

1200 places

 

Conclusion : une salle de 800 places, souhaitée par les professionnels, manquait à l’agglomération. Il y aura donc une vraie complémentarité avec les salles existantes. Contrairement à la salle de Bovero qui avec 473 places était en concurrence avec la salle du théâtre de Bayonne et les salles de Bellevue et du Casino de Biarritz.

 

Cette capacité correspond-elle aux besoins des angloys ?

Le nouveau bâtiment de Quintaou va répondre à une double vocation.

Offrir aux professionnels de la culture un outil performant, pour accueillir des spectacles ambitieux.

Proposer aux associations des possibilités variées. En effet il y aura dans ce nouvel équipement trois lieux différents :

-         la grande salle de 800 fauteuils, qui pourra être recoupée pour offrir une capacité plus faible de 400 places.

-         Une salle de répétition qui pourra accueillir des manifestations plus modestes (théâtre, conférences, assemblées, concerts…), avec 200 places assises ou 400 spectateurs debout.

-         Un espace extérieur, sur le toit du bâtiment, d’environ 300 places. 

Cette modularité exceptionnelle, qui faisait défaut au précédant projet de Bovero, fait de la salle de Quintaou un équipement pouvant accueillir des spectacles et manifestations très variés. Les associations pourront s’en saisir.

Je me souviens aussi qu'un des objectifs de M. Barate dans les années 80/90, alors qu'il était adjoint à la culture de M. Mendiboure, était de construire à Quintaou une salle ayant une jauge comparable à  l'Eglise Saint Léon qui peut accueillir 680 personnes.

 

Pourquoi le site de Quintaou ?

Ce site avait été choisi dès le départ par les municipalités précédentes. Le concours de 1988 prévoyait un auditorium de 600 places dans le prolongement de la bibliothèque. Membre de l’opposition à l’époque, je l’avais soutenu.

Quintaou offre sur place un parking de 400 places, alors que le projet Bovero voulu par l’équipe précédente n’en prévoyait qu’une quarantaine.

La nouvelle salle sera placée à 15 m de la médiathèque, à 100 m de la maison pour tous dont on va doubler la surface utile, ce qui permettra des mutualisations, des synergies intéressantes. Beatrix Enea et la mairie sont à deux pas, Baroja n’est pas loin : La rue Albert Le Barillier qui relie Quintaou à Saint Léon devient un vrai boulevard de la culture. Une centralité forte s’affirme ainsi, contribuant à souligné la vocation culturelle et universitaire du cœur d’Anglet. Rappelons que parallèlement  nous construisons à Montaury un restaurant et une résidence universitaire.

 

L’architecture contemporaine ne serait pas conforme à l’image d’Anglet.

Anglet doit préserver son identité. Celle-ci s’appuie sur une histoire, des paysages, et une position centrale dans l’agglomération. Anglet est une ville verte. C’est aussi une ville jeune, dynamique, tournée vers l’avenir, comme le montre la vitalité de ses clubs sportifs et ses nombreuses associations. Une architecture contemporaine est parfaitement adaptée à une ville ou tous les styles se marient et qui a toujours accueilli la modernité. Anglet ne s’est-elle pas imposée depuis plus de 20 ans, comme un lieu « incontournable » (comme on dit aujourd’hui) de l’art contemporain avec les expositions de Beatrix Enea, ses sculptures, et la biennale d’art qui anime le littoral ? Madame Cazaux qui au nom de l’opposition, en conseil municipal, avait qualifié de « verrue » la future salle  a rectifié son propos : elle serait intéressante en soi mais ne s’intègrerait pas dans son environnement. Il ne s’agit pas ici d’un argument étayé par une explication, mais d’une opinion. Madame Cazaux n’aime pas ! C’est son droit. Mais je me permets d’être dubitatif. L’œuvre de RICIOTTI à Bovero, un énorme cube en béton de 20 mètres de haut, un geste architectural fort, s’inscrivait-elle dans son environnement ? Madame Cazaux le pense sans doute. C’est aussi son droit !

 

L’œuvre d’Hérault et Arnod à Quintaou, aux formes complexes entièrement recouvertes de bois, allie modernité et tradition. C’est bien dans l’esprit de Quintaou… et d’Anglet.

 

Y -a-til eu une concertation des angloys autour de cette salle?

Certains nous reprochent de ne pas avoir établi ce projet en concertation avec les angloys. Plusieurs réunions ont été organisées avec les associations culturelles angloyes et les opérateurs culturels locaux: les directeurs du conservatoire de musique, de la scène nationale, des troupes de théatres ont été consultés.

Bernard Marti a pointé en conseil municipal  cinq réunions préparatoires . Il faut y rajouter bien sûr toutes les rencontres individuelles que les services de la mairie et les élus ont pu avoir avec divers acteurs culturels. Les angloys ne se souviennent pas qu'une telle concertation ait été organisée par l'équipe précédante autour de son projet Bovero.

 

Cette salle va-t-elle coûter plus cher que le précédant projet?

C'est ce qu'affirment certains puisqu'un tract récemment distribué affirme que "6 millions d'euros sont perdus par l'abandon du projet précédant". Je reprendrai ce point précis dans un prochain article.

 

 

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  • : Le blog de Jean-Pierre Voisin
  • : Jean-Pierre Voisin, adjoint au maire d'Anglet de 2008 à 2014 en charge de l'urbanisme, livre ici son point de vue sur les dossiers locaux et dialogue avec les angloys. Ses propos n'engagent que lui-même.
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